INTERVENANTS
Adeline Praud
Ancienne étudiante à l’école des Beaux-Arts de Nantes, Adeline Praud mène d’abord une carrière dans le secteur culturel, avant de revenir à la photographie en tant que membre du collectif de photographes bellavieza entre 2014 à 2017.
Elle travaille depuis 2017 sur - A place I can call home – un projet qu’elle réalise aux États-Unis. Elle y documente le combat individuel et collectif d’une communauté qui lutte contre l’épidémie des opioïdes. En 2022 et 2023, elle est artiste en résidence invitée par Le Carré d’Art (Réseau DIAGONAL) pour y développer le projet - Comme une branche de laquelle un oiseau s’est envolé - une série qui interroge les représentations et récits autour de la psychiatrie. Ce projet devient un livre, publié aux éditions Sur la crête.
Depuis 2016, elle anime des workshops à destination des photographes et intervient régulièrement en milieu scolaire sur des projets de création partagée. Elle enseigne la photographie à l’École de Design de Nantes.
Elle travaille depuis 2017 sur - A place I can call home – un projet qu’elle réalise aux États-Unis. Elle y documente le combat individuel et collectif d’une communauté qui lutte contre l’épidémie des opioïdes. En 2022 et 2023, elle est artiste en résidence invitée par Le Carré d’Art (Réseau DIAGONAL) pour y développer le projet - Comme une branche de laquelle un oiseau s’est envolé - une série qui interroge les représentations et récits autour de la psychiatrie. Ce projet devient un livre, publié aux éditions Sur la crête.
Depuis 2016, elle anime des workshops à destination des photographes et intervient régulièrement en milieu scolaire sur des projets de création partagée. Elle enseigne la photographie à l’École de Design de Nantes.
Son activité alterne entre des projets personnels, des cartes blanches et des commandes, notamment pour la presse nationale et les secteurs de l’éducation populaire et de l’économie sociale et solidaire. Lorsqu’elle ne produit pas d’images, Adeline Praud anime des projets en tant qu’artiste intervenante ou facilitatrice.
Ses projets artistiques sont soutenus par l’Institut Français, la Région Pays de la Loire, la Ville de Nantes, et l’État – Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) des Pays de la Loire.
Adeline Praud est basée à Nantes, travaille en France et à l’étranger lorsque des projets l’y mènent.
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Ses projets artistiques sont soutenus par l’Institut Français, la Région Pays de la Loire, la Ville de Nantes, et l’État – Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) des Pays de la Loire.
Adeline Praud est basée à Nantes, travaille en France et à l’étranger lorsque des projets l’y mènent.
Armandine Penna
Journaliste formée au centre universitaire des journalistes de Strasbourg, Armandine Penna exerce d’abord comme rédactrice avant d’apprendre progressivement la photographie sur le terrain. Elle travaille plusieurs années en free-lance au Maroc, où elle s’intéresse aux migrants traversant la Méditerranée. Elle obtient en 2005 le Prix Lagardère pour une enquête au Nigeria sur la filière de prostitution vers l’Europe. Aujourd’hui basée à Nantes et spécialisée sur le secteur social, elle réalise des reportages pour la presse aussi bien à la plume qu’à l’image.
Depuis 2019, elle développe des projets photographiques personnels au long cours. Sa série « Ioana et la jupe rouge » est un conte documentaire en immersion dans l’univers d’une jeune habitant d’un bidonville en classe avec son fils. Elle a été exposée en novembre 2022 dans le cadre de la Quinzaine photographique nantaise.
Depuis 2019, elle développe des projets photographiques personnels au long cours. Sa série « Ioana et la jupe rouge » est un conte documentaire en immersion dans l’univers d’une jeune habitant d’un bidonville en classe avec son fils. Elle a été exposée en novembre 2022 dans le cadre de la Quinzaine photographique nantaise.
Elle travaille actuellement sur un son nouveau projet plongeant cette fois dans le quotidien d’une jeune femme atypique du quartier des Dervallières s’apaisant au contact des animaux.
Tout son travail est guidé par l’envie de lutter contre l’invisibilité des personnes exclues de la société. Intervenir en tant que facilitatrice de L’œil parlant lui permet d’aller plus loin dans cet engagement : en utilisant le medium photographique pour permettre à des personnes fragilisées de s’exprimer directement, de retrouver l’estime d’elles-mêmes, voire de contribuer à un plaidoyer.
Armandine Penna associe régulièrement du son à ses images en créant de petits films photographiques. Le dernier réalisé à partir de sa série « Ioana et la jupe rouge » a été finaliste en 2020 du Prix Diapero et du Prix des nouvelles écritures de Freelens.
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Tout son travail est guidé par l’envie de lutter contre l’invisibilité des personnes exclues de la société. Intervenir en tant que facilitatrice de L’œil parlant lui permet d’aller plus loin dans cet engagement : en utilisant le medium photographique pour permettre à des personnes fragilisées de s’exprimer directement, de retrouver l’estime d’elles-mêmes, voire de contribuer à un plaidoyer.
Armandine Penna associe régulièrement du son à ses images en créant de petits films photographiques. Le dernier réalisé à partir de sa série « Ioana et la jupe rouge » a été finaliste en 2020 du Prix Diapero et du Prix des nouvelles écritures de Freelens.
NOS COLLABORATEUR.ICES PONCTUEL.LES
Ils et elles ont rejoint ponctuellement L’œil parlant : Séverine Sajous, Guillaume Nourry, Adeline Moreau